LA RAYURE Collection FREDDY RAPIN - 14 photographies
D'abord la photographie, comme fenêtre sur mon salon : espace personnel devenu entité récurrente où mes modèles sont invités à venir évoluer dans les mêmes conditions : libres de leurs gestes et nus.
L’idée est de constituer une série sur le corps dans son état de nature et de le confronter à un espace fermé.
Ensuite, la volonté de renchérir l’aspect poétique du propos, de donner une dimension plus plastique à l’image, par le jeu de la mise en scène et par un travail graphique. Une sorte de recherche-hommage aux procédés anciens.
Les éléments ajoutés aux architectures des corps viennent dialoguer avec les personnalités
de chacun, pour écrire une histoire qui lui est propre.
Enfin, la rayure verticale plus profonde, caractéristique du cinéma au temps de la pellicule photosensible, invite le spectateur à recréer le mouvement en faisant défiler mentalement les images. La photographie, par définition image statique, s’intègre alors dans une série séquentielle d’instantanés en vie.
L’idée est de constituer une série sur le corps dans son état de nature et de le confronter à un espace fermé.
Ensuite, la volonté de renchérir l’aspect poétique du propos, de donner une dimension plus plastique à l’image, par le jeu de la mise en scène et par un travail graphique. Une sorte de recherche-hommage aux procédés anciens.
Les éléments ajoutés aux architectures des corps viennent dialoguer avec les personnalités
de chacun, pour écrire une histoire qui lui est propre.
Enfin, la rayure verticale plus profonde, caractéristique du cinéma au temps de la pellicule photosensible, invite le spectateur à recréer le mouvement en faisant défiler mentalement les images. La photographie, par définition image statique, s’intègre alors dans une série séquentielle d’instantanés en vie.
Photographe
FREDDY RAPIN
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